lundi 25 janvier 2010

LE DEUXIEME PV PHOTOGRAPHIQUE DU CPT

Lieu: Maison de Culture Ibn KHouldoun
Présents: Membres de la CPT
Séance a débutée à : 15h00
Séance levée à : 18h00





 

 

 




 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Amine LANDOULSI
membre de la CPT


                    

vendredi 22 janvier 2010

"ma CAN à MOI 2010 "



Ma CAN, à moi je l'ai vécu de la sorte. Quand l'équipe nationale de football jouait ses matches, moi je regardais la télé au café du coin.
Tant de remarques en dialecte tunisien qui affirment la plus véridique des sentiments :"Un échec sur toute la ligne, depuis 2004 et jusqu'à maintenant".

Faudrait bien que les tuteurs de ce sport busness donnent des projets de solutions  afin que la roue économique continue à rouler.

Car les " meacoul pas" non fondé de la grande famille de l'équipe nationale, ne va pas neutraliser la perte sèche allouée au budget national et non moins important : le manque à gagner  qui est dû à la non qualification à la coupe du monde 2010.

Le pire dans l'histoire c'est que les problèmes traités sur les medias tunisiens se révèlent élémentaires, car on est toujours calé au niveau des" ne me parle pas sur ce ton…" ,"la liberté de la presse sportive à formuler des critiques à l'encontre de tous prétendant à hisser le drapeau nationale en dehors des maisons" ou " la concentration des joueurs "...

Je ne comprend pas le comportement du staff ainsi que des joueurs, sur le fait qu'il veulent jouer ,se faire payer des primes et des salaires faramineux ,sans pour autant payer le prix à tous ça .

Mais c'est le moindre des choses à faire, quand on est professionnel du monde du "showfoot biz" , c'est ça la taxe réel d'être une star, c'est de supporter l'actif et le passif du bilan des supporters .

Si mes propos s'avèrent erronés je jure que demain, j'entrainerais mon fils, d'un an, à jouer au football.

Je suis perplexe devant le comportement médiatique de Mr Hagui , étant le capitaine d'équipe ne sait pas que tout prétendant à cette tâche doit supporter les critiques des 7 à 77 ans ,comme on dit le foot est un jeu populaire structuré par des règles sociales bien déterminés.

Et si règles s'imposent, un minimum de respect  de votre  part, vous oblige envers et pour les gens qui te regardent à travers des pouces de télévision, entrain de jouer.

Mais le hic, c'est que vous Monsieur, vous étiez entrain de jouer, alors qu'il s'avère qu'il fallait travailler.

Car avec les millions de dinars TUNISIENS ,qui sont mis en jeu dans ce sport, on ne doit surtout pas jouer avec, mais certainement travailler pour.


Au passage et pour finir ce récit de "ma CAN à MOI " ,je plains les martyres de la coupe d'Afrique des nations ,car étant en Afrique et jouant au foot, ça a l'air d'une guerre.

Après les incidents du Caire, ceux du soudan et aujourd'hui l'Angola je crains que la troisième guerre du monde n'explose en Afrique du sud 2010.

"YES WE CAN 2010", "I don't love this game " ou, "just killed it " sont des slogans qui me chatouillent l'esprit en écrivant ces lignes ....

QUE DIEU AIT PITIÉ DES FANS DE MOINS DE 18 ANS.





Lors de  cette dernière semaine j'ai vécu ma CAN à MOI" à travers vous.
Voila le Top 50 de ce que vous avez  pu entendre sur les chaines media tunisienne (Tv ,Radio, maison ,café du coin, lieu de travail …) entre deux ou 10 millions de tunisiens :
 


TOUNSI : " kafana " 

RASSI 3ALI :"watania"

TOUNSI: "ya jam3a" 

RASSI 3ALI: "69 swi3a CAN" 
                                      
TOUNSI: "Lazimhom CAN bil bifidus "

RASSI 3ALI :"Wou CAN nature"

TOUNSI: "Wou CAN famma chtar baguette ma n9oulich non " 

RASSI 3ALI: "Mich CAN t9oul el nana tsa5en el ftour mich 5ir "
                                                       
TOUNSI: "n9at3ik  w ma n9ollikch sama7ni" 
                 
RASSI 3ALI: "yes we CAN "

TOUNSI: "Ya5i " issa hayatou mizzal dima 7ai? "

RASSI 3ALI: "Ana nitdhakrou CAN zmen "

TOUNSI: "Dhaharli fih CAN tawa houni"

RASSI 3ALI: "Famma wa7ed 9al CAN jèw kbar ,ranna rbe7na  "
  

TOUNSI: " Jèwbou la5er :CAN mazzalou sghar ,3lech machine ?"

RASSI 3ALI ": CAN w a5awétha ,kima 7 stadet ,w alf 620 JAZIRA sport "

TOUNSI :" CAN el mohalline jèw tobba ,rahou mardh el a3ssab 9al fil beld "

RASSI 3ALI :" CAN les entraîneurs jaw framla rahou rib7ou elbara7 "

TOUNSI :" CAN 3arrast bikri mich 5ir rahou walla 3andek el 5ibra el kefia "

RASSI 3ALI :"mich CAN 3adda pass rana rbe7na ?"

TOUNSI :"w CAN rbe7na rahou c'est sure 3adda pass?"

"ama CAN jèw rjal rahi lemra fi eddar "

TOUNSI :"mich CAN 9a3dou 5ir ,rahou el madalina titba3 DT 0.320 "

RASSI 3ALI :" CAN, ANGOLA 2010 tla3bet fi tounes rana rawa7na quand meme"

TOUNSI :" ama CAN tle3bet fi Mozambique ,rana 5sarna barcha flouss"

RASSI 3ALI:"ama CAN tracha7na  lil Afrique du sud rahou etteskra wallèt aghla 3la el joumhour "

TOUNSI :"w CAN 9ass edhaou mich rahi el kolha tal3AB bil CAN"

RASSI 3ALI:"ala9al wa9tha ,wi9oulou t3delna 3ala 5ater CAN edhaou ma9ssouss.

TOUNSI: "w CAN eraiss el jamaa  maraouhech ,za3ma na3mlou 7aja? "

RASSI 3ALI: "wou CAN fi nytou el merhouh ?,3lech tala3 ?"

TOUNSI: "w  CAN 3lech tala3 ? 3lech houwa 7att rou7ou fi zan9a dhy9a ?"

RASSI 3ALI: "w CAN erragued fak min ennoum, za3ma youssil 3a tayara?"

TOUNSI: "w CAN haiti majahach izzilzal ,za3ma y chaj3ou tounes woulla el cameroun ?"

RASSI 3ALI : "w CAN kol wé7ed yi5dim 3ala rou7ou fin houwa ,mich rahou labess"

 



Amine LANDOULSI 
footblogueur

ps:je remercie ma tres chère soeur rim landoulsi pour sa contribution dans la traduction arabolatine du dialogue.

mercredi 20 janvier 2010

LE BLEU DANS MES YEUX



C'est une sélection de photos prises lors de mon dernier voyage ,en date, à REDEYEF . Décembre 2009.






















 
































































Amine LANDOULSI

mardi 19 janvier 2010

Le premier PV Photographique du C.P.T




Lieu: Maison de Culture Ibn KHouldoun
Présent: Membres de la CPT
Séance a débutée à : 15h00
Séance levée à : 17h45




ORDRE DU JOUR:


DES RIRES ET SOURIRES


DES ÉLOCUTIONS ET EXPRESSIONS

DES SUGGESTIONS ET RÉSOLUTIONS
DES MEMBRES ET PRÉSIDENTS
DES FILLES ET GARÇONS
DES ARGENTIQUES ET NUMERIQUES
DES EMPLOIS ET SANS EMPLOIS
DES PRO ET MOINS PRO
DES AMATEURS ET  AVERTIS
DES AIDES ET ENTRAIDES
DES CONCOURS ET PRIX
DES BÉNÉVOLES ET BENEVOLATS
DES COMPACTS ET REFLEXES
DES PRÉSENTS ET ABSENTS
DES PROJECTIONS ET CRITIQUES
DES CORPS ET ÂMES
DES FLOUS ET NETS
DES FACES ET BOOK
DES PROMESSES ET ACTES
DES MINOLTA ET  DES LEICA
DES SIGMA ET KONICA
DES NIKON ET  CANON,
BREF DES JAPONAISES ET CHINOISES
DES DOITGS ET UNE GACHETTE
UNE HISTOIRE ET OBJETIFS
DES NOUS ET VOUS
C'est ce que j'attend et j'entreprend au sein du :

"CLUB PHOTO DE TUNIS "












































Amine LANDOULSI
Membre du CPT

mercredi 13 janvier 2010

GOOOOOOD MORNING REDEYEF



Pour terminer une année deux mille neuf en mode réveillon, nous avons  pris nos bagages, notre voiture et nos appareils photos en direction de la ville minière du REDEYEF.
En carence de bons plans pour le 31 décembre, nous avons fêté le réveillon du "dernier weekend" de l'année.

Le samedi dernier le 26 décembre 2009 nous avons veillé, comme tout réveillon l'oblige, avec une bonne compagnie, dans un foyer chaleureux composé naturellement  d'un "Homme"(1), d'une "Femme"(2) et "Nous".

L'Homme, qui au fil de notre séjour au sein de son foyer, nous a actualisé les fondements même de la notion de générosité.
Il nous a ouvert  cette grande porte métallique, qui nous mène à un beau et spacieux jardin englobant cette demeure bâtit à l'ancienne.
Une fierté de plus de chez notre  amphitryon, qui s'exclamait en nous faisant le tour guidé de son élément: " Ah la construction en pierre c'est du béton …"

Fait il que je me pose la question en toute solitude de l'habitude entretenue par cet Homme, de collectionner des roches  qui datent d'antan. Comme s'il était l'As de la pétrographie, il nous a raconté des histoires sur cette terre garnie de richesse et que celle-ci doit être  perçue comme un  capital historique et non pas une valeur pécuniaire qui fluctuerait à la guise du Dollar.

L'Homme s'exclamait :" Mais les gags, vous complétez aussi bien les dix millions de notre peuple à qui revient ce trésor !!!" et ce au moment  de nous offrir quatre pièces de sa collection, que nous avons résisté  par pudeur devant ce lot de générosité.

Car "offrir un cadeau" est l'un des comportements les plus humbles que l'HOMME a crée jusqu'à nos jours. "L'Offre" et la "Demande" du cadeau s'équilibre naturellement pour définir son prix, qui  avoisine "l'inestimable".

"L'art d'offrir est certainement confronter au savoir faire d'accepter "

Ce qui me ramène à dire que l'Homme nous a fait cadeau de tous ce qu'il aime de son REDEYEF natal, sans même se soucier du papier cadeau conventionnel, car il y était déjà dans cette veloutée ville.

S'il n'y avait pas eu une mine à la ville de REDEYEF : y aurait toujours  une profondeur à explorer au sein de la demeure de nos hôtes. On la surnommerait : "LA BONNE MINE"  .Car vous y découvrirez des rochés montagneuses, des appareils  photos, des motos, des bicyclettes, des photographies d'antan ainsi que  d'actualités, des gadgets, bref un brun de brochante musical dans tous ce que nos yeux on pu détecter et nos oreilles ont pu ouïr.

Revenant à la case départ où, devant l'hôpital régional de REDEYEF, un point de repère choisis par L'Homme  pour nous repêcher. Là, nous y découvrions la Femme !

Avec un sourire défiant la lune ainsi que la lumière publique et une accolade défiant tout préjugés, elle nous a éclairé notre chemin pour nous présenté des mets étudiés pour des voyageurs affamés et fatigués mais surtout heureux pour le meilleur qui va venir.

Cette Femme  qui nous a épatés par son sens du protocole, tout ce qu'un service de diplomatie étrangère souhaiterait  avoir au sein de son équipe.

De part sa persévérance culinaires et son rôle de militante, nous avons senti un intéressement considérable de cette Femme à tous ce que l'Homme entreprenait. Ce qui lui a donné une place probante lors de nos discussions nocturnes et qu'au fil des jours passés à Redeyf, une citation se confirmait à mon esprit :"derrière chaque un grand Homme, il se trouve une Femme "

A REDEYEF les nuits obscures devenaient des nuits blanches tellement leurs récits nous faisait oublier le temps.

D'ailleurs je faisais pratiquement comme disait la chanson d'Aznavour,
"Hier encore j'avais vingt temps", en m'emportant pendant nos discussions .En imaginant que j'ai déjà les clefs d'un monde meilleur. Mais hélas je me suis induit en erreur pour découvrir devant moi un exemple "type" d'un couple qui se voit dans l'obligation d'aimer le pays : en éduquant leurs enfants  ,en assumant leurs responsabilités de citoyenneté  ,en hissant le drapeau de notre pays dans les terres étrangères et en portant de l'aide à tous ceux qui en ont besoin .

Apres notre intégration dans cet environnement, nous partîmes à la chasse photographique, guidée par cet Homme, qui connait les recoins de cette ville .Et malgré son malaise de dos, il a persévéré pendant notre séjour afin que dès notre  retour à Tunis, nous serrions des portes paroles, pour  faire valoir selon nos moyens, le lieu de ses origines.

Drôles d'anagrammes pour le nom propre de "REDEYEF", en 7 lettres il ne pouvait être mieux que REDEYEF elle-même, pour 6 lettres on pouvait avoir "fédéré " et pas mieux avec 5 lettre "de fer ".

Des voies ferrés qui transgressent le centre même de la ville, comme pour dire que la mine est toujours là.
Même s'il elle se situe dans les fin fonds de la terre, elle est toujours là, devant vous en surface avec tout ce qu'elle génère de vie sociale, environnemental, politique, économique et surtout quotidienne.

Réellement on voyait des voies plus que des trains dans la Gare de REDEYEF . Mais si 'il ya lieu, il y  en a qui reposent en paix dans les hangars désinfectés de la SNCFT.

Tant de lieux visités sur cette terre, qui pouvait être une destination  de Tourisme durable .Cette région qui fut un maquis de singularités et spécificités que l'oublie  a casé  dans les mémoires ,de plus en plus usées,  des octogénaires survivants aux épreuves du dernier siècle .

Ces personnes qu'on a eu la possibilité de rencontrer, avec qui on a eu l'opportunité de discuter mais surtout d'ouïr car ils ont beaucoup à nous dire.

Je pourrais citer, "Le terrain de Tennis de REDEYEF " où des "Aces", des "out" et "des jeux set et match", que jadis on  pouvait commentés lors du passage du célèbre Monsieur  LACOSTE dans ce  terrain, qui fut le deuxième construit dans toute l'Afrique.

L'Economat qui comme son nom l'indique, était un lieu de rassemblement obligatoire pour cette meute de personnes .Un multing pot d'autochtones, d'italiens, de français, des maltais et tant d'autres qui vivaient en bouillonnement perpétuelle, un sort que les gens de REDEYEF  ont su comment s'y adapter à cette migration Nord-Sud, qui prend des formes contradictoires à ceux vécus aujourd'hui.

L'une des plus dures étapes dans ce périple de souvenirs, à fort nuance historique, c'est celui de notre arrêt devant le vestige  du Cinéma de REDYEF. Malgré que la bâtisse demeure, le sentiment de ruine m'a accaparé par le vide qui entoure cette esplanade, jadis exploitée comme air libre de visionnage aux cinéphiles de l'époque.

Hélas, l'Eglise de REDEYEF est devenue ancienne lorsque notre guide nous a suggéré d'y pénétrer  .La bâtisse elle-même n'est pas sortie du lot de l'oubli .Au lieu de voir un musée qui ressuscite toutes les messes de dimanche ,toutes les confessions des fideles et touts les pats d'un curé qui veille à l'entretien des fois de ses adaptes ,nous avons vécu une désolation de plus par un mur en brique bâtit au centre même de cette demeure de dieu.

Une Prière s'impose alors dans ce lieu sacrée :

" Que dieu bénisse nos chefs services rattachés au Patrimoine, pour qu'ils puissent faire un tour dans les fins fonds de notre Tunisie afin qu'ils sauvent ce qu'il en reste de ce Patrimoine culturelle."


Et certainement y aurait des féaux comme nous qui affirmeront cette prière par un :
" AMEN, AMINE, HALLELUJAH…"

"Khanfouss REDEYEF" est bel est bien un surnom à l'équipe de football de cette région, constitué en 1908 .un drôle de surnom "kanfouus" est qui signifie "bettle" . Ces "scarabées" étaient témoins des premières vagues de touristes français miniers dans les montagnes de cette région. Ces derniers ont eu la sympathique idée de l'appelé de la sorte .Avec un palmarès de victoire de la " Coupe des pays Francophones " disputée à Marseille en 1938. 


Tant de dates, tant de belles dates à écrire et à nous faire lire…
Tant de bâtisses, tant de moroses bâtisses  qui surgissent
Tant de demeures, tant de demeures  qui demeurent ….
Tant de mémoires, tant de mélancoliques mémoires qui m'émois …

Que c’est douloureux d'entendre dire des histoires d’individus qui viennent d’apprendre le décès d'un minier qui a chaque fois se trouve qu'il est l'un des leurs. Une formulation ambiguë qui traduit mon état d'âme ému devant un tel récit de douleurs.

Car le fait de vivre la mort au quotidien est pratiquement assimilable à une guerre inéquitable, mais les gens du REDEYEF on su comment prendre cela avec philosophie .Leurs guerres qui se révèle une guerre durable contre un environnement de plus en plus avare envers un HOMME qui devient de plus en plus inhumain (!!!)

Et devant cette atmosphère qui s'avérait des fois pesantes sur mon cœur sensible je me suis refugié dans l'esprit et l'expérience de mon compagnon de voyage , Hamideddine Bouali, qui faisait  partie prenante  de la première personne de pluriel que je formulais tout au long de mon présent récit.

Et oui je me suis tapé 850 Kilomètre avec Hamideddine Bouali qui avait oublié son permis de conduire.

Hamid était un ami de quartier qui se faisait incognito, il est devenu un ami sur facebook…intéressant. Et maintenant un compagnon de voyage ne pesant pas trop avec sa petite valise de pc dans une Citroën 15 mais qui pèse énormément moralement sur toutes personnes prétendant le connaitre.

En conclusion de ce j'ai pu entreprendre, apprendre et partager de ce voyage, c'est que la ville de REDEYEF  est bel est bien composé d'intrépides Hommes, de valeureuses Femmes et d'une Histoire aussi profonde que ses  mines, que seul des indomptables gaillards pourrait y pénétrés.


Amine LANDOULSI
Photographe et Bon mineur




(1)Mr Mohamed AL ALAIMI
(2)Mme Asma ALAIMI 
 je remercie ma femme Amira Hammami Landoulsi qiU m'a aidé par ces précieux conseils concernant la rédaction de ce texte .