mardi 15 décembre 2009

Entre Moi et Dalila Yakoubi


Avant de lire ces photos je me suis promis en mesure de mon possible, de focaliser mon focal sur les points négatifs qui m'ont destinés par Madame le Photographe. 
Dès le départ, Madame le Photographe et Madame le Model m'ont transmis une sensation de déséquilibre penchant à la faveur de Madame le Model au dépend de Madame le photographe. Jusqu'a maintenait je n'ai vu qu'une seule position et trois postures, tandis que Monsieur Chalbi nous prépare, que dieu le bénisse, une exposition Sexy Art. 


 photographie par Dalila YAKOUBI 

Peut on qualifié ces trois postures qui émanent d'une seule position et en plus d'une même Madame Le Model, comme Sexy ou érotique ? Si tous les mecs ainsi que tous les nanas qui ont vu cette photo lisent que ces trois photos sont sexy ou érotique, dans ce cas seulement je retirerais mon objection et je me refugierais dans l'ère qui nous précède pour trouver les bases de l'érotique ou du sexy . 


 photographie par Dalila YAKOUBI 

Je parle bien, de l'ère du "Sefsari" et tous habits traditionnel qui ornés des femmes, pas automatiquement belle de naissance, mais qui cachaient bien leur laideur dans la beauté que procure l'habit. Pour dire que le choix de l'habit qui est était très important à y réfléchir avant qu'on pénètre dans l'aire des lumières. 

Aussi un autre point qui dans le même ordre d'importance que son précédent, c'est celui des accessoires, exactement Madame Le Model a porté 4 accessoires et elle s'est assis sur une chaise en tant que 5eme accessoires dans notre inventaire.Si je vais insister sur mon focal je vais sortir avec une idée que Madame le Model n'a pas trop cherché dans son garde bijoux ,pour nous faire sortir ces 4 accessoires synonymiques de goût ,de finesse ,de beauté , de pudeur ,du voyeurisme ,de tentation ,d'érotisme bref de tout …. 

Un collier posés finement sur un voluptueux cou, d'un genre féminin sexuellement, c'est très beau à shooter.

photographie par Dalila YAKOUBI


Revenant à nos assises pour remarquer le choix de la chaise imposé par l'obligation d'improviser, qui a malheureusement rien donné à la photo sauf le rappel de la couleur rouge. Fallait il aussi chercher un divan, de ceux qu'on retrouvera au paradis, pour épouser la forme du corps de Madame le model pour essayer tout au long de notre scannage visuel, de savouré un corps en entier. 

Pour dire que même les parties que Madame le Model nous a fait aumône de sa jolie vitrine vont au loin assouvir mon appétit de la beauté. Je me demande jusqu'où pourrait Madame le Model, aller dans la nudité ? 
Afin d'y répondre par une question :"Vous êtes où dans tous ça, Madame Le PHOTOGRAPHE? Est ce que la régie de votre plateau studio pourrait il être une plateforme dune autocensure? Si votre réponse s'avèrerait à l'encontre de mes pensées, dans ce cas seulement j'abdiquerais et je vous conseillerais d'aller en avant dans votre choix. 

Seulement l'acharnement de débutant pourra faire taire mes semblables car je suis sure que si vous prenez bien l'arène lors des séances photos en studio, je parierai tous ce que j'ai, sur vous. 
Car je sens qu'être en studio, d'ailleurs j'en jamais mis les pieds, c'est un emprisonnement quand ne peut libérer que sauf si on entre en osmose avec le lieu, la lumière et le model car le titre de Madame ne peut être décerné qu'à Madame le Photographe.

Aussi je tire mon chapeau à la Model pour son très beau sourire car dans notre ère se faire photographier par un photographe demeure une expérience difficile dans nos esprits. 

Amine LANDOULSI 
Pire que ça … y en a pas

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